Patrice Marquand, membre de la SFT
Depuis le 1er janvier 2019, je suis membre de la Société Française des Traducteurs, Syndicat professionnel des traducteurs et interprètes exerçant dans l'hexagone.
En tant qu'adhérent de la SFT, je m'engage à respecter les termes du Code de déontologie dans le cadre de mon activité professionnelle. Le code énonce les principes et les bonnes pratiques qui offrent aux clients comme aux fournisseurs une garantie de sérieux, de compétence, d’honnêteté et de moralité.
Dans certains pays, comme l'Allemagne ou le Canada, les traducteurs doivent justifier d’une formation adéquate ou d’une solide expérience pour pouvoir exercer leur profession. Ce n’est pas le cas en France, où tout le monde peut prétendre être traducteur du jour au lendemain. Nul besoin d’avoir étudié dans une école de traduction, d’être diplômé ou très expérimenté dans le domaine.
Pour s'établir aujourd'hui en tant que traducteur en France, il suffit de dire « je suis traducteur ». Que l’on soit très compétent ou que l’on baragouine à peine une langue étrangère, peu importe, à partir du moment où l’on exerce en toute légalité.
Aucun Ordre, aucun Conseil ne réglemente la profession, ne définit ses obligations, n’intervient en cas de problème d’éthique, de déontologie ou de qualité.
C'est pourquoi j'ai déposé un dossier à la SFT, qui a émis un avis favorable à mon adhésion en tant que membre titulaire. Cette qualité de membre, avec les engagements qui en découlent, ajoutée à mon doctorat en breton, apporte à mes partenaires et clients la certitude qu'ils font appel pour leurs projets de traductions à un professionnel compétent, spécialisé et responsable.